Zircone(s) – Partie 2 – Restaurations émaillées ou monolithiques ? – MAJ
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- Publié le . Paru dans Biomatériaux Cliniques n°2 - 30 octobre 2019 (page 10-21)


Dernière née des céramiques dentaires destinées à faire du tout céramique et super championne de la résistance mécanique, la zircone, ou plutôt devrait-on dire les zircones, sont apparues sur le marché de la prothèse dentaire au début des années 2000, dix ans après l’alumine et vingt ans après les premières vitrocéramiques renforcées (Empress, Ivoclar Vivadent) et les céramiques infiltrées
(In Ceram, Vitazahnfabrik). Des prothèses émaillées aux restaurations monolithiques en zircone haute translucidité, que penser des différents matériaux commercialisés depuis déjà plus de quinze ans ?
Que penser de cette céramique que les fabricants ont baptisé « le métal blanc », car la zircone pourrait selon eux satisfaire la majorité des indications, de l’inlay au bridge de 14 éléments ? Qu’en dit la littérature ? Quelles sont les indications mais aussi les limites des matériaux zircone ? Telles sont les questions que nous avons commencé à aborder dans la partie 1 de cet article consacré à des céramiques pas comme les autres, et que nous continuons d’explorer dans la partie 2.
Que penser de cette céramique que les fabricants ont baptisé « le métal blanc », car la zircone pourrait selon eux satisfaire la majorité des indications, de l’inlay au bridge de 14 éléments ? Qu’en dit la littérature ? Quelles sont les indications mais aussi les limites des matériaux zircone ? Telles sont les questions que nous avons commencé à aborder dans la partie 1 de cet article consacré à des céramiques pas comme les autres, et que nous continuons d’explorer dans la partie 2.
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